La résistance institutionnelle à travers le développement et le maintien de pratiques d’organisation alternatives : Exploration de trois cas de participation des travailleurs ou d’autogestion

Cette thèse de doctorat a pour objectifs :

• D’étudier des mécanismes de non-conformité organisationnelle et de changement institutionnel au travers de l’étude qualitative approfondie de trois cas d’entreprises participatives dans trois contextes très différents (Cecosesola au Venezuela, le groupe Terre en Belgique, et Prymave au Chili)
• De mettre en lumière trois stratégies de maintien de la participation des travailleurs au sein de l’entreprise, en dépit des nombreuses pressions internes et externes à l’encontre de cette participation
• De développer le concept théorique de différentiation institutionnelle (« institutional distinctiveness »)

• Durée du projet : octobre 2015 à septembre 2020
• Correspondants CES :
  • Doctorante : Aurélie Soetens
  • Promoteur : Benjamin Huybrechts
  • Membre du comité de thèse : Jacques Defourny
• Organisme financeur :
  • Une bourse Aspirant FNRS – (oct.2016 – sept.2020)
  • Une bourse NON-FRIA (ULg) – (janv. 2016 – sept. 2016)
  • Un mandat d’assistant mi-temps (département d’économie d’HEC Liège) – (oct. 2015 – déc. 2015)
• Partenaires :
  • Membre du comité de thèse : François Pichault (LENTIC)
  • 1^ère coopérative étudiée : CECOSESOLA (Barquisimeto, Venezuela)
  • 2^ème entreprise étudiée : le groupe Terre (Wallonie, Belgique)
  • 3^ème coopérative étudiée : PRYMAVE (Santiago de Chile, Chili)